A empresa especializada em educação online Macat produziu uma série de animações curtas sobre as principais teorias de grande pensadores da humanidade. Ao todo, são 136 vídeos com duração de aproximadamente três minutos cada. Todos eles foram disponibilizados gratuitamente no canal da instituição no Youtube. Os temas abordados são bastante amplos, contemplando desde filosofia clássica, com os pensamentos de Platão e Aristóteles, até a filosofia moderna, de Foucault e Judith Butler.
Michel Foucault’s colorful life and hugely influential work were both struggles against limitation—the limits of language, of social structures and stultifying historical identities.
“La littérature et le cinéma regorgent de personnages humains et machines à la fois. Ils y sont souvent présentés comme des êtres supérieurs, alliant nos capacités cognitives et émotionnelles à des facultés physiques hors normes. Ce sont les cyborgs.”
Via Jean-Philippe BOCQUENET, michel verstrepen
Alan Jacobs has written seventy-nine theses on technology for disputation. A disputation is an old technology, a formal technique of debate and argument that took shape in medieval universities in Paris, Bologna, and Oxford in the twelfth and thirteenth centuries. In its most general form, a disputation consisted of a thesis, a counter-thesis, and a string of arguments, usually buttressed by citations of Aristotle, Augustine, or the Bible. But disputations were not just formal arguments. They were public performances that trained university students in how to seek and argue for the truth. They made demands on students and masters alike. Truth was hard won; it was to be found in multiple, sometimes conflicting traditions; it required one to give and recognize arguments; and, perhaps above all, it demanded an epistemic humility, an acknowledgment that truth was something sought, not something produced.
VNS Matrix emerged from the cyberswamp during one Australian summer in 1991, on a mission to hijack the toys from technocowboys and remap cyberculture with a feminist bent.
While at conferences and doing research and writing over the past couple of years, I’ve noticed a lot of confusion about the terms “posthuman,” “transhuman,” and “posthumanism.” A lot of people—including scholars who should know better—use these terms pretty much interchangeably and indiscriminately. Part of the problem is that these terms are all fairly new. So for clarity’s sake, I offer these simple thumbnail definitions of all three terms…
Mihaly Csikszentmihalyi asks, "What makes a life worth living?" Noting that money cannot make us happy, he looks to those who find pleasure and lasting satisfaction in activities that bring about a state of "flow."
Epistémologue rigoureux, soucieux d'éducation et de diffusion du savoir, Michel Serres nous raconte que l'homme vit aujourd'hui la troisième révolution de son ...
Université de Montréal, Département de sociologie Faculté des arts et des sciences, Michèle Robitaille, 2008 Analyse des représentations du corps soutenues par le mouvement transhumaniste Résumé(s)...
"Enhancement" ou "santé augmentée". Le terme fascine et inquiète à la fois. Il est synonyme de progrès scientifique dont on peut se réjouir, mais aussi de surpuissance voire d'immortalité. Ce dont on a tout lieu de s'inquiéter. Qu'est-ce que le post-humanisme? Que signifie exactement "santé augmentée"? Des médecins, des penseurs, des théologiens nous alertent sur les dérives possibles des prouesses scientifiques et les enjeux éthiques du trans-humanisme. Ils disent aussi combien la fragilité de l'être humain est aussi sa richesse.
Bernard Stiegler : "Maintenant avec le nouveau stade de l'automatisation, la question c'est : qu'est-ce qu'on redistribue ?
S'il n'y a plus d'emploi, il n'y a plus de salaires. Et s'il n'y a plus de salaires, il n'y a plus de pouvoir d'achat. Qu'est-ce qu'on redistribue ?
Et comment est-ce qu'on le redistribue ? Et bien je crois qu'il faut redistribuer quelque chose qui est du SAVOIR. [..] La valeur, aujourd'hui, elle est produite par ce qu'on appelle les "externalités positives" dans une économie de contribution qui existe déjà d'ailleurs. L'économie de Google, c'est une économie de contribution. [...] Il faut que nous soyons capables de transformer cette économie de contribution hyper-consumériste et toxique (cette pharmacologie de la contribution) en une contribution positive. Cette contribution positive, c'est "l'économie pollen". Et cette économie pollen renonce une fois pour toute à produire du salaire et du pouvoir d'achat et elle passe à autre chose qui est le développement des capabilités, c'est-à-dire les capacités de pollinisation." *************************** Extraits de la conférence enregistrée le 20 mars 2014 dans la salle Roland Topor Théâtre du Rond-Point.
Ce type de transformation, qui bouscule les civilisations, est rare. Il y a plus de deux mille ans, l'écriture a provoqué une première vague de transformations économiques, juridiques, politiques, pédagogiques et religieuses. Durant la Renaissance, l'imprimerie a conduit à de nouveaux bouleversements. Selon Michel Serres, nous vivons aujourd'hui la troisième de ces grandes révolutions, période extraordinaire de nouveautés, mais aussi de crises. Alors que les ordinateurs et les smartphones nous conduisent à externatiliser notre savoir, notre mémoire, «que reste-t-il sur nos épaules? (...) Sommes-nous condamnés à devenir intelligents?» questionne le philosophe.
Pour le philosophe, l'externalisation des fonctions cognitives que représente l'ordinateur va dans la logique de l'externalisation de toutes les fonctions corporelles.
La révolution numérique en cours a selon Michel Serres des effets au moins aussi considérables qu'en leur temps l'invention de l'écriture puis celle de l'imprimerie. Les notions de temps et d'espace en sont totalement transformées. Les façons d'accéder à la connaissance profondément modifiées. A cet égard, chaque grande rupture dans l'histoire de l'humanité conduit à priver l'homme de facultés ("l'homme perd") mais chaque révolution lui en apporte de nouvelles ("l'homme gagne"). A la part de mémoire et de capacité mentale de traitement de l'information qu'il perd avec la diffusion généralisée des technologies numériques, l'homme gagne une possibilité nouvelle de mise en relation (d'individus, de groupes et de réseaux, de savoirs) mais aussi une faculté décuplée d'invention et de création. C'est probablement de ce côté-là que se trouvent les réponses aux enjeux contemporains de l'humanité.
Une invitation à relire Petite poucette de Michel Serres. Son propos est tout aussi intéressant que les réactions qu'il suscite. Une chose est certaine, nos sociétés se e-transforment...
“¿De qué manera influye en la subjetividad el flujo constante de información que llega a diario a través de redes sociales, mails, chats y otras tramas de la red 2.0 –esa en la que todos y todas podemos ser productores/as de contenido–? ¿Cuánto depende la existencia de cada quien de esa mínima aprobación que implica tener “amigos” o “seguidores”? ¿Qué es lo que se pone en juego al armar un “perfil” con el que ponerse en contacto con los demás? La antropóloga argentina radicada en Brasil Paula Sibilia, autora de, entre otros, La intimidad como espectáculo (FCE), se hizo éstas y otras preguntas para señalar un cambio de eje: ya no sólo se ha borrado la frontera entre lo público y lo privado, sino también entre ser y estar. Lo esencial, ahora, parece ser siempre visible a los ojos.”
Via Alejandro Tortolini, Labtic.Unipe, juandoming
"Le triste constat d'une société mentalement appauvrie"
« L’infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations, tout cela revient à réfléchir au pouvoir immense du marketing sur une société devenue un troupeau de consommateurs. Permettez-moi un détour… Le capitalisme a muté au début du vingtième siècle, avec le fordisme. Nous sommes alors sortis de l’époque productiviste du capitalisme, celle de la révolution industrielle de la fin du XIXe siècle et début du XXe siécle qui a transformé nos vies – des chemins de fer à l’électricité alimentant l’usine et les nouvelles concentrations urbaines. Ce capitalisme a transformé les ouvriers, les artisans, les paysans en prolétaires. Grâce aux avancées techniques, aux nouvelles machines, la productivité s’est trouvée multipliée par dix, cent, parfois par mille… Ces énormes gains de production ont assuré la prospérité de la la petite bourgeoisie intellectuelle, de la moyenne bourgeoisie des entrepreneurs et des commerçants, et de la grande bourgeoisie industrielle, de la finance et du capital. Henri Ford invente la voiture bon marché et le consommateur Au début du siècle, de nouvelles méthodes de travail vont être expérimentées pour accroître encore la productivité. C’est d’abord le taylorisme, imaginée par l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915). On cherche à organiser scientifiquement le travail, « The One Best Way », la meilleure façon de produire, le rendement maximum grâce à l'analyse des techniques de production (gestes, cadences). C’est aussi le passage du salaire à la tâche au salaire à l'heure. La méthode de Taylor prouvera son efficacité dans la sidérurgie, qu’il formalisa en 1911 dans « Les principes du management scientifique ». C’est alors que Henri Ford, fondateur de la Ford Motor Company, apparaît. Pour produire la fameuse Ford T, il va encore perfectionner le travail à la chaîne - que Charlot met en scène dans les « Temps modernes ». En même temps, il se dit : On peut encore augmenter considérablement la productivité. Pour cela, il faut inventer une nouvelle logique de distribution et de vente. En conséquence, il installe des concessionnaires Ford dans le monde entier, vend des voitures par centaines de milliers. Il développe encore l’idée que le peuple doit consommer, profiter des nouvelles inventions techniques - c’est selon lui la seule façon de développer l’industrie, mais aussi la bonne
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